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Épisode 2 - Le « paradoxe Gréber » : quand l’urbanisme des années 50 nous paraît « laid »

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Synopsis

Avec ses bars de danseuses, ses boutiques érotiques et les activités criminelles qui s'y déroulent, le boulevard Gréber, à Gatineau, n'a pas la réputation la plus enviable. Qualifié de « boulevard le plus laid » de la ville, Gréber porte le nom d’un architecte français à qui l’on a voulu rendre hommage. Pourquoi avoir donné son nom, lui, pourtant reconnu pour sa finesse, à un boulevard qui nous semble si laid? Voilà le paradoxe que soulève André St-Georges. Pour y répondre, Julien Morissette remonte le fil du temps avec l’historien Martin Laberge et le photographe Alexandre Laquerre, un passionné d’histoire. Dans les années 50, tout était conçu pour la voiture, expliquent-ils. Même si le boulevard favorise les déplacements et que de nombreux commerces y font de bonnes affaires, il faudra que la Ville lui « donne un peu d’amour », conclut André St-Georges. Avec Julien Morissette (animateur et réalisateur), André St-Georges, Daniel Beaulé, Martin Laberge, Alexandre Laquerre, Sophie Lamother (invités)